Yves Hubert

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Bâtisseur

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Histoire

Yves Hubert
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1 votre sous toiture doit être bien étanche à l'eau mais doit laisser passer la vapeur.
2 Si plusieurs couches d'isolants, commencer par l'isolant le moin bon (laine de roche/verre)
  vers l'extérieur pour terminer à l'intérieur avec le meilleur placo/PU 2-3-5-8 cm qui est déjà
  étanche à l'air grace à un film plastique entre le PU et le placo. Le PU n'est pas étanche à
  l'air de par lui-même, car il a une structure à bulles ouvertes contrairement au PIR qui a une
  structure à bulles fermées.
3 bien isoler avec du tape approprié les joins entre plaques (mousse PIR) ou tape entre plaques
   et maçonnerie. Si uniquement laine de roche/verre placer une membranne étache à l'air sur
   toute la surface avant le lattis des placoplatres, dans les mêmes conditions de finition que les
   panneaux PU/placo.
4 Le principal est que l'humidité de l'air intérieur ne migre pas de son volume vers les couches
   d'isolants où, au contact de l'air froid, celui-ci se condensera et créera de l'humidité dans
   l'isolant ou placo. 
5 Surtout bien ventiller vos pièces avec VMC appropriée.

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Yves Hubert
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L'épaisseur est bonne. Si vous pensez placer un placo par après, soit prévoyez de
savoir monter un cadre en metalstud qui reposera sur les pannes intermédiaires et
la maçonnerie ou alors des suspensions vissées directement sur les chevrons qui
traverseront et maintiendront l'épaisseur d'isolant final auquel vous fixerez le cadre en metalstud.


Il y a donc deux possibilités. Comme votre superficie à isoler n'est pas encore trop 
importante, si le volume que prendra ce type d'isolation est trop grand par rapport au volume de la pièce, vous pouvez remplacer les 20cm de laine de verre par des placos avec 5 ou 6 cm de PUR. directement vissés sur les chevrons, sans cadre, si les chevrons sont correctement alignés. C'est plus cher mais vous y gagnerez en volume d'habitabilité.

BAV

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Bonjour,

je lis souvent que le système PAC demande 1/3 d'énergie électrique et 2/3 de la chaleur de l'air/sol/eau.

Mais se dont on ne parle jamais, c'est que, pour la Belgique, l'énergie électrique est 3 x plus chère que le gaz,
sans compter le prix d'achat et l'entretien du système PAC.

J'aimerais savoir comparer le coût de production d'une calorie pour chacun des moyens de production.

La chaudière gaz à le même rendement toute l'année alors que le PAC air/eau voit ce rendement tomber à 60%
lorsque l'air extérieure a entre 7°C et -10°C. Quand il gèle au niveau de l'échangeur extérieur, son rendement tombe à 0
et une résistance électrique ou une inversion de son sans de fonctionnement est nécessaire pour dégeler cet échangeur.
C'est quand-même bien avec les températures hivernales que la puissance d'un PAC doit être calculée, non?  

Une chaudière gaz est mécaniquement moins sollicitée mécaniquement qu'un PAC et demande moins de pièces à haute résistance.

J'espère que ma question est suffisamment claire?

Merci de m'avoir lu.

Yves

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